« J’irai là-bas où l’arbre et l’homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l’ardeur des climats ;
Fortes tresses, soyez la houle qui m’enlève !
Tu contiens,mer d’ardeur, d’ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts. »
Charles Beaudelaire